Exposant : Marie Piriou

Spontanée avec la peinture sortie d’un tube et tartinée sur une grande toile vierge. Nul besoin donc de palette, ni pinceau : j'écrase avec la pulpe de mes doigts, gratte, frotte, lisse, patine et égratigne encore.

J'aime le blanc qui se patine et devient couleur, qui appelle son opposé, le noir. La silhouette d'une jeune fille est toujours là, elle raconte l'histoire du ciel et de la terre. Une fuite vers un ailleurs, vers un monde de mystère mêlant rêve, poésie, tendresse et douce nostalgie...

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marie.piriou@gmail.com